l’Ernesto à dire vrai quasiment idéal de Maxim Mironov. On note d’abord l’aspect juvénile adéquat pour le personnage, mais on ne cessera d’être émerveillé par le raffinement musical du chanteur, qui module jusqu’aux nuances les plus infimes et témoigne ainsi d’une maîtrise vocale telle qu’on en reste comblé. Cet art de la ciselure est-il perceptible loin de la scène ? Où nous étions il nous a comblé.
“L'ensemble fonctionne et pourtant, si, sous la direction de Umberto Benedetti-Michelangeli, l'orchestre est sage, mesuré, soigné... Même constat pour la distribution, bien chantante. Mais on ne résiste pas à l'Osmin de Günes Gürle, baryton-basse turc séduisant en diable, mordant de timbre."
découvre une élégante et excellente basse turque Günes Gürle
l’Ernesto à dire vrai quasiment idéal de Maxim Mironov. On note d’abord l’aspect juvénile adéquat pour le personnage, mais on ne cessera d’être émerveillé par le raffinement musical du chanteur, qui module jusqu’aux nuances les plus infimes et témoigne ainsi d’une maîtrise vocale telle qu’on en reste comblé. Cet art de la ciselure est-il perceptible loin de la scène ? Où nous étions il nous a comblé.